Fosses communes en Biélorussie

Kurapaty est un lieu sacré près de Minsk, capitale de la Biélorussie, où sont enterrées dans des fosses communes les victimes d’assassinats menés par le NKVD. Elles ont été ouvertes par des bulldozers lors de travaux en vue de la construction d’un immeuble de bureaux. Selon des historiens indépendants, elles seraient environ 250.000. Figurent des Polonais et des Biélorusses, ces derniers assassinés pour s’être opposés au gouvernement communiste. Selon les historiens, les 3872 Polonais de la « Liste biélorusse de Katyn » pourraient s’y trouver, assassinés sur les ordres de Staline en avril-mai 1940. De même que les victimes de l’ « Opération polonaise » du NKVD de l’année 1937 (100 000 Polonais assassinés) auxquels s’intéresse l’IPN. De même que des Polonais des Territoires occupés par les Soviétiques en septembre et éliminés après 1940. Près des tombes ont été trouvés des articles avec des inscriptions en polonais, médailles, etc. Le « champ de la mort » est marqué seulement par des croix de bois, les autorités biélorusses refusant de construire un monument et organiser la zone de protection adéquate. Kurapaty est un lieu sacré près de Minsk, capitale de la Biélorussie, où sont enterrées dans des fosses communes les victimes d’assassinats menés par le NKVD. Elles ont été ouvertes par des bulldozers lors de travaux en vue de la construction d’un immeuble de bureaux. Selon des historiens indépendants, elles seraient environ 250.000. Figurent des Polonais et des Biélorusses, ces derniers assassinés pour s’être opposés au gouvernement communiste. Selon les historiens, les 3872 Polonais de la « Liste biélorusse de Katyn » pourraient s’y trouver, assassinés sur les ordres de Staline en avril-mai 1940. De même que les victimes de l’ « Opération polonaise » du NKVD de l’année 1937 (100 000 Polonais assassinés) auxquels s’intéresse l’IPN. De même que des Polonais des Territoires occupés par les Soviétiques en septembre et éliminés après 1940. Près des tombes ont été trouvés des articles avec des inscriptions en polonais, médailles, etc. Le « champ de la mort » est marqué seulement par des croix de bois, les autorités biélorusses refusant de construire un monument et organiser la zone de protection adéquate.

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